Une phrase qui nous rappelle notre enfance lorsque nos parents nous invitaient gentiment à aller prendre l'air, rencontrer nos amis et à faire des activités. En fait ce que cela nous permettait réellement d'accomplir c'était de nous aventurer à l'extérieur de la maison familiale et d'en explorer les alentours. De la cour arrière à la rue devant, du carré de maison à la maison du voisin, de nos frères et soeurs aux amis tout autour et c'est ainsi que notre petit monde a pris de l'expansion. La découverte de notre environnement et notre habileté à nous y adapter nous ont permis de contrôler cette peur de l'inconnu et d'évoluer comme individus. Un fait demeure, celui d'être périodiquement de retour dans un milieu que nous maîtrisons. Qu'en est-il du « va jouer dehors » de notre jeunesse qui nous a été si bénéfique. Ne devrait-il pas être présent dans toutes les différentes étapes de notre vie. D'un quartier à une ville, à une province, à un état, à un pays, à un continent et pourquoi pas à une planète. De nouveaux amis et de nouvelles expériences de vies sans frontières nous permettant de continuer à évoluer.
Alors du stationnement d'un concessionnaire de motorisé situé à San Diego où nous campons depuis plusieurs jours sans remettre en question notre mode de vie, nous vous souhaitons un « Joyeux temps des fêtes » et nous vous disons « Va jouer dehors »
Claude et Sylvie.
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